![Décompresser après une journée de travail est-ce possible ? [Lexie Grey] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) |  Sujet: Décompresser après une journée de travail est-ce possible ? [Lexie Grey] Mer 9 Nov - 20:19 | |
| Ma toute première journée en tant qu'interne dans le domaine de la psychiatrie venait de se terminé et je n'avais rien trouvé mieux qu'un bar pour laisser la tension emmagasiné durant les heures qui venaient de s'écouler s'échapper un tant soit peu.
Je n'avais pas eut beaucoup de patient pour mon premier jour mais cela à été une véritable course contre la montre surtout pour le cas de la petite Maya Thomson qui refusait de se faire opérer de ses amygdales parce qu'elle avait une trouille monstre.
J'avais été chargée de m'en occuper et de lui faire comprendre qu'elle ne risquait rien mais le temps que je parvienne à sa chambre, elle avait disparut.
Mon supérieur était en colère mais je ne pouvais pas traverser l’hôpital plus rapidement que je l'avais fait. La petite fille avait été se cacher dans la chambre d'un monsieur dans le comas. Se fut une infirmière de l'étage en question qui la trouva et qui nous en informa, encore heureux d'ailleurs car j'aurais pu chercher encore longtemps dans le cas contraire.
Il y avait eut deux autres cas mais ceux là ne pouvaient être considérés comme un marathon dont la ligne d'arrivée se trouverait dans une pièce totalement prise au hasard au sein même de l'hôpital universitaire de Seattle.
Il était loin d'être tard pourtant je me sentais totalement lessivé comme ci je n'avais pas fermé l’œil pendant deux jours entier mais cela n'était pas le cas car bien que je venais de commencer mon internat, je n'avais pas eut la moindre difficulté pour fermer l’œil la nuit dernière et encore moins avec celle d'avant. Tout le monde disait que cela était du à mon travail et ils avaient peut être raison en fait ils avaient tous raison car moi même je le savais très bien.
Le serveur du bar me regardais depuis un moment sans doute à causse du fait que je me trouvais là depuis dix bonnes minutes au moins et que je n'avais encore rien demandé mais je ne savais absolument pas quoi prendre. Je jetais un coups d’œil à l'étagère des alcools, je pouvais me le permettre puisque je n'étais pas de garde la nuit ci.
Le titulaire qui s'occupe de nous, les internes en psychatrie nous à informé plutôt dans la journée que dés demain nous enchainerons les quarante-huit heures de gardes. Je savais bien que cela était fait par tout les première année peu de temps après leur arrivé mais je ne pensais pas que cela serais aussi rapide. Je finis par prendre la parole tout en tournant mon visage vers le barman :
"Je voudrais un scotch s'il vous plais."
Je n'en avais encore jamais bu mais je savais que s'était un alcool fort et s'était cela dont j'avais besoin en ce moment. Il semblait soulagé de voir que je prenais tout de même quelque chose mais je ne le blâmais pas pour cela car les consommations de ses clients étaient son gagne pain un peu comme moi et les maladies des patients.
Lorsque le verre fut posé devant moi, je ne le bus pas tout de suite préférant le faire tourné sur lui même pendant qu'il était posé sur le bar car me connaissant, j'étais capable de le faire tomber dans l'état de fatigue qui était la mienne en se moment.
Pour le moment je vivais à l'hotel en attendant de me trouver un appartement ou autre chose qui entrerait dans mes frais car pour le moment j'étais loin de rouler sur l'or et en plus j'avais toujours mon prêt étudient à rembourser mais bon je n'étais pas la seule dans cette situation.
Je finis par porter mon verre à ma bouche et comme prévu le verre m'échappa pour s’écraser en mille petits morceaux sur le sol éclaboussant au passage les chaussures et les bas de pantalon de mes voisin. |
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